La couleur rose

Histoire

1.    Étymologie

Le terme rose ici est à entendre comme adjectif et substantif masculin, Le Rose vient dans l’idée de la fleur du rosier La Rose pour la plupart des gens.

 Son appellation est apparue plus tardivement que certaines autres couleurs certes mais est reliée à la couleur rouge, ce ne serait donc par étymologie qu’une simple nuance de rouge, ce n’est donc pas relié à la fleur mais au rouge clair. Ce n’est qu’au début du XIXème qu’on a pu vraiment établir son existence à part entière.

Nous verrons plus loin son aspect dans l’art mais il est bon de rappeler que le Rose s’obtient en mélangeant du rouge et du blanc et c’est là où il prend son importance que ce soit dans la codification, l’utilisation ou les croyances comme tout mélange, il retrouve la force, la vertu, l’aspect des deux couleurs qui le forment.

Frédéric Portal dédie tout un chapitre de son œuvre à l’origine antique de la couleur[1], nous donnerons plus loin sa définition. Pour l’étymologie il nous explique le lien qu’il voit entre rose et baptême dans l’idée de changement d’état en passant par l’étymologie du latin ros la rosée, la pluie et en évoquant Horapollon[2] et ses écrits qui expliquent que les Égyptiens représentaient les sciences humaines par l’eau tombant du ciel.

Mais nous allons voir que le rose bien que tardivement nommé comme une couleur indépendante est présente dans beaucoup de sphère où ne nous l’attendions pas

2.    Le Rose au quotidien dans les époques

Aujourd’hui on réduit souvent le rose à la layette, aux sphères du féminin, il n’en a pas toujours été ainsi et nous allons voir que cette idée reçue n’en est en fait qu’à ses balbutiements. Commençons par voir qu’effectivement il est normal de mélanger dans la croyance la rose, le rose et la rosée

  1. Égypte

Comme nous l’avons vu le rose associé à l’idée d’eau et de rosée, cela devient un symbole de régénération, l’idée de secrets et d’initiés vient de cette époque et on retrouvera ces pratiques de partage du savoir enfermé dans un temple et caché dans d’autres mouvements le plus connus actuellement reste sans doute la Franc-Maçonnerie.

On peut se demander pourquoi associer l’idée de Le Rose, La Rose comme régénération et changement d’état ? On peut se tourner vers la littérature antique avec Apulée qui nous raconte l’histoire de Lucius dans ses Métamorphoses qui se retrouve transformé en âne puis sauvé lors d’un rite en l’honneur d’Isis où on lui présente une couronne de rose à manger. Nous prenons volontairement cet exemple pour illustrer dans ce poème les nombreuses pérégrinations de Lucius où la fleur à son importance dans la symbolique sexuelle, sensuelle et spirituelle, et, qui utilisent ainsi tous les sens (visuel, olfactif, gustatif et même le toucher dans certains passage).

(Bex)  Sur les quinze occurrences de la rose que présentent le texte, dans trois cas, la rose est présentée sans appel à un sens spécifique (II.16.1 ; III.27.2 ; VII. 15.1) ; dans les douze autres, la rose est décrite avec des termes qui relèvent du champ visuel, gustatif ou encore tactile.[3]

  • Dans l’Antiquité.

  C’est quand on se tourne près des mystères que cette idée de régénération apparait. Le rose étant aussi donc associé à la mort charnelle en quelque sorte, la charnelle étant le rouge, et ça dépigmentation nous amène vers le statut mortuaire de perdition de sang et donc vers ce côté fade mais dans le sens positif dans le sens, on lâche la partie corporelle, on part sur le côté spirituel qu’on verra plus loin

*Rosalia

.

Pour manifester cette dissociation, donc charnelle et spirituelle, il y avait les cérémonies qui s’appelaient les Rosalia. Qui sont des fêtes romaines qui pouvaient être célébrées plusieurs fois dans l’année, mais principalement au printemps, en mai et parfois à la mi-juillet. Cela consistait en fait à faire des offrandes avec des décorations de fleurs ou des roses, principalement.

            Lors de ces Rosationes ou Dies Rosationis qui selon les auteurs, se déroulaient le 11 ou le 22 mai. Et il y avait aussi la version avec des violettes (Violationes ou dies Violae), qui s’étaient fêtées le 11 ou le 22 mars on célébrait les ancêtres de chaque famille en envoyant des fleurs sur les sépultures.

Ces Rosalia pouvaient donc donner lieu à plusieurs types de fêtes bien différentes. Il y avait les célébrations joyeuses avec l’arrivée du printemps, et d’autres beaucoup plus graves qui étaient plus en commémoration des défunts. Et donc, dans ce cas-là, elles s’inscrivaient dans une pratique religieuse au cours desquelles les Romains prenaient soin de leurs morts selon les coutumes anciennes, Mos maiorum[4] et elles sont à l’origine de la coutume de déposer en fait des fleurs sur la tombe des disparus. Et on sent encore une fois le lien entre la couleur et la fleur.

Et donc pourquoi rose et violette ? Et bah parce que ce sont des symboles traditionnels du la jeunesse, les violettes étant aussi les fleurs, symboles du printemps et donc de rajeunissement, renaissance et de la mémoire. Et ça servait aussi à évoquer la couleur du sang comme forme de sacrifice et d’apaisement. Durant ces célébrations, on pouvait également offrir des fleurs à des statues de divinité ou d’autres objets afin de montrer sa dévotion.

*Ob Rosalias signorum supplicatio

 Célébration sur la même base mais qui permettait à l’armée de romaines de célébrer à sa façon ces fêtes de la Rosalia. Deux fois en mai, les enseignes militaires (signa) étaient ornés de guirlandes de roses pour participer aux célébrations religieuses. On avait l’obligation d’être présent, cela pouvait constituer un vrai véritable manque de respect envers ces emblèmes si on n’était pas là. De plus on pense qu’à cette époque justement, c’était l’occasion de récupérer son stipendium qui donne en italien aujourd’hui stipendio qui veut dire salaire et donc du coup pour les soldats c’est la solde.

  • Moyenne-âge

Il n’y a pas grand-chose à dire sur cette époque par rapport à la couleur rose, car toutes les symboliques qu’on ne peut retrouver dans l’Antiquité continueront à l’époque du Moyen-Âge.

  • Époque Moderne

Pendant longtemps, le rose a été associé aux petits garçons et pas n’importe lesquels, les enfants royaux, ainsi que les hommes de pouvoir, mais nous verrons cela plus en avant dans la partie art

Avant de glisser, au dix-neuvième siècle, vers cette idée de petite enfance ou de notions plus charnelles, de plaisir, associées à la couleur rose qu’on pourra par exemple trouver plus tard dans la lingerie ou dans tout ce qui est produit féminin, un personnage à participer à l’évolution de la couleur et à malheureusement en donner une représentation très négative.

Vous allez vite comprendre pourquoi. C’est la marquise de Pompadour qui a donné la couleur rose Pompadour. Jeanne Antoinette Poisson était réputée pour être une femme qui avait du goût et qui aimait les jolies tenues et autres belles choses mais elle a surtout gardé la réputation pour certains de son statut social, celui de Maitresse Officielle du Roi Louis XV.

Pourtant en pensant à son passage à la cour de Versailles on ne peut pas la dissocier de son rayonnement en tant que mécènes et plus particulièrement à son rôle en 1740 dans la fondation, la manufacture de Porcelaine de Sèvres.

On ne peut que penser à ces services à thé ou d’assiette aux couleurs pastel avec un décor floral et ces fameux fond rose Pompadour. On a malheureusement par volonté de calomnié associé ces nuances pastel de rose tant appréciés par la Marquise à des choses frivoles, sans intérêt voire niaise.

Pourtant on vient de siècle de tradition catholique où l’enfant Jésus est habillé en rose tous comme les futurs rois de France et autres enfants royaux, comparé aux autres enfants qui par convention étaient habillés en blanc à cette époque-là.

Pendant toute la période moderne le rose était une couleur de représentation du pouvoir à l’époque, une couleur virile et d’homme important qui se faisaient volontiers représentés sur des œuvres en tenue pourpre, cramoisi ou fuchsia en opposition les femmes étaient représenté en bleu en référence à la Vierge Marie

  • Époque contemporaine

En 1888, dès leurs création les journaux The Financial Time ou en 1896 la Gazzetta dello Sport, étaient imprimé sur du papier journal rose.

On arrive en 1920 d’une nouvelle convention pour les enfants, celles du rose et et du bleu.

Dans l’évolution historique du rose et de ses connotations, on peut faire un raccourci très simple et très triste aussi.

On part de la notion que rose est la sagesse et la régénération pour devenir une représentation de la virilité et du pouvoir et donc du coup symbole du Sexe Fort, qui dit pouvoir dit sexualité mais peut-être déjà sensualité. Et d’un seul coup une notion nouvelle et péjorative car on associe cette couleur à une femme que nous avons déjà cité mais aussi dans un pur effet de croyance collective à une autre Marie-Antoinette qui bien que Reine de France n’en a pas moins une très mauvaise réputation. On passe sur un caractère éphémère du rose, on glisse donc plus généralement de l’homme à la femme et la fille.

Donc une notion que cette couleur passe d’un statut de sexe fort à un statut de sexe faible et donc dans une société patriarcale cela devient un symbole négatif.

Mais le pire glissement dans tout ça sera celui qui mène à la stigmatisation de l’homosexualité et on l’oublie parfois mais aussi de la transidentité, la bisexualité, avec le fameux triangle rose que ces prisonniers portaient quand ils sur toit dans les camps de concentration. Pour la pensée Nazi ce ne sont pas des hommes mais des sous-hommes qu’il fallait supprimer comme toutes les personnes qui n’entraient pas dans leur liste. C’est en hommage à cette période et aux gens qui ont été assassiné qu’en 1998 le premier drapeau représentant les bisexuels était deux triangles un rose et un bleu. Aujourd’hui encore avec les différents genres, orientations sexuelles on retrouve la couleur rose.

Et dans son histoire le rose est aussi une couleur politique. On l’associe à partir de du 10 mai 1980 avec François Mitterrand au socialisme qui la choisi en signe opposition et de division, pour trancher avec le rouge du communisme.

Encore aujourd’hui le rose est étonnamment relié à des sports encore associés aux hommes avec en Italie le gagnant du Giro qui porte le maillot rose.

Psychologie

La théorie des couleurs en psychologie est assez récente on a commencé à faire des analyses pour sortir de la simple symbolique ou analogie au début du XXème siècle. Mais même si les études ne sont pas toujours reconnues par tous, il y a peu de personnes qui contrediront l’idée que les couleurs ont un impact sur nos émotions, notre état d’esprit et pour certains même sur notre productivité.

Pour comprendre comment on procède à de telles études nous pouvons prendre l’exemple d’Alexander Schauss qui a voulu dans les années 60 tenter de comprendre quelles sont les réactions psychologiques et physiologiques face à la couleur rose et voir si la couleur peut influencer un changement d’humeur.

Il est parti d’une simple hypothèse que cette couleur provoquerait donc des changements émotionnels, voire hormonaux grâce à ses différentes longueurs d’onde.

Pour lui, c’est la longueur d’onde qui émane de la lumière qui agirait donc sur le système endocrinien. Je tiens à rappeler que c’est une étude qui n’est pas reconnu de la majorité et qu’elle n’a aucune valeur médicale.

Sous couvert d’observation générale et aussi à l’aide d’un test de  kinésiologie[5], il a pu noter qu’il y ait un changement de tension dans les muscles avec la présence de la couleur rose. Il l’a expérimenté sur lui-même, par rapport aussi à sa tension sanguine. C’est avec cette expérience qu’il lui vient l’idée de contrôler les réactions humaines face à l’exposition de différentes nuances.

Une image contenant rose, Lilas, Magenta

Description générée automatiquementC’est ainsi qu’à Washington, en plein milieu d’une prison des hommes se sont retrouvés cobaye. Bien évidemment ce test était pour voir s’il y avait une issu positive à l’exposition de la couleur.

 Le test consistait à exposer pendant un temps donné des détenus au rose appelé Becker Miller Pink (noms des commandants de la prison de l’époque). Pendant 15 minutes des prisonniers sont entouré de rose et on note que cela réduit l’agressivité effectivement mais avec une portée seulement d’une trentaine de minute. Résultat peu probant, déduction trop hâtive ? Il y a sans doute une eu une mauvaise utilisation de cette analyse et peut-être une nuance de rose mal choisie qui va être imposée à la prison tout entière, des murs aux draps, en passant par les vêtements, la vaisselle, cela va entrainer rapidement une surexposition l’effet inverse de ce qui était attendu : de l’agressivité.

En 2010, en Suisse, à Bienne, on a quand même le réflexe de tenter aussi de prendre cette couleur mais en transformant une cellule en maison de Barbie, mais avec un projet plus précis et une exposition courte (pas plus d’une journée) pour des détenus mis à l’isolement provisoirement.

Plus généralement ce n’est pas mauvais du tout de décorer son intérieur avec du rose, cela apporte une harmonie, un équilibre, selon la nuance de la douceur. C’est en général pour aider à rééquilibrer les énergies de de la pièce, à apporter un certain calme, pour que l’environnement d’un seul coup paraisse moins surchargé.

Mais encore une fois, ça sera la nuance de rose et sa répartition dans la décoration (murs, les objets, les rideaux, les coussins, …) qui aura un impact positif ou négatif sur l’observateur. Il y a aussi une question d’affect parce que ça peut être dosé correctement, bien sûr, si vous détestez une couleur, elle vous fera surement mal réagir, même à petite dose. Si vous adorez une couleur, le surplus ne vous fera pas forcément arriver à quelque chose de négatif. Donc cette sensation de réconfort avec la nuance de rose, surtout les nuances les plus douces, les plus pastels, peuvent créer une sensation de de réconfort, de bien-être et cela rendra l’environnement tout de suite plus accueillant surtout dans des espaces publics ou de vies commune (crèche, école, maternité,) en particulier si on choisit de rattachés la couleur à la petite enfance.

Certaines pièces aussi d’études peinte en rose peuvent vous aider à vous poser l’esprit, vous aider à réfléchir, à apprendre beaucoup plus facilement, et ça peut aussi stimuler la créativité.

On peut s’en servir aussi dans certains vestiaires sportifs pour un peu canaliser les sportifs, les joueurs.

La couleur rose en psychologie, peut être sur les murs, mais aussi sur soi dans notre dressing et avec nos accessoires. Le langage corporel avec les couleurs en plus du style et de ce que nous traiterons plus loin dans le marketing, peut avoir des interférences avec la conception et la communication autour de soi. Donc porter du rose, peut être traduit par avoir un besoin de douceur ou de réconfort. Vous pouvez le porter pour les autres, pour apaiser les gens en face de vous, cela créera une atmosphère plutôt positive, quelque chose qui peut être perçus comme très maternel et rassurant (blousse des infirmières, sage-femme, …). Ça vous aidera aussi à exprimer vos émotions sans peur.

Eva Geller[6] tient à rappeler que le rose n’a pas une valeur plus petite, inférieure, au rouge au contraire, elle ne doit pas être considérée comme une couleur intermédiaire entre le rouge et le blanc mais bien comme une couleur avec son propre caractère et sa propre portée.

Art

On le trouve dans des tableaux du Moyen-Âge, lorsque on a une œuvre qui traite de la vie d’un Saint, si sur la représentation il y a une ville ou un village et que l’une des maisons est d’une couleur différente des autres et qu’elle est rose, c’est qu’il s’est passé un miracle dans celle-ci. Ce point est donc en lien avec la couleur du christ et la religion

On a déjà évoqué le rose pour Virilité et Pouvoir, mais cela reste une déduction, c’est que pendant toutes une période le rose n’est que sur les hommes puissants ou connu comme deux exemples.

Tableau 1 Portrait de Henri IV en Mars par Jacob Bunel en 1606

Tableau 2 Dante, Boccaccio, Cavalcanti, Ficino Landino et Petarca par Giorgio Vasari 1544

Nous avons déjà évoqué le rose Pompadour avec la manufacture de Sèvres qui bien que connoté n’en reste pas moins une prouesse technique. Le rose à la même époque se trouve aussi assez présent dans tout ce qui est art rococo et trouve peu à peu un lien avec les femmes mais le rose va disparaitre pratiquement des palettes pendant quelques décennies et ne sera associé qu’à la carnation (rose italien incarnato)

Nous aurions pu mettre cette notion dans la partie psychologique, mais nous n’avons, nous avons choisi de la rajouter aux côtés art. Il y a une notion d’érotisme avec le rose, une tendresse érotique c’est en partie le rose beige pour la couleur des peaux certes quand on le mélange au blanc mais il y a bien une notion de nudité avec la représentation des corps et les scènes choisies.

 Le rose semble complètement juvénile dans les tableaux, dans les représentations, ce rose blanc beige qui donne un effet de bonnes mines de jeunesse de pureté et qui pourrait être très facilement être mis en opposition avec le rouge violet qui a quelque chose de beaucoup plus violent qui est associé à une forme de séduction et d’érotisme, plus maison close que de d’Éden.

Si on veut agrandir les domaines de l’art, nous pouvons aller sur la haute couture avec un rose assez célèbre, c’est un rose qui date de 1931 avec la Couturière italienne styliste Elsa Schiaparelli. On l’associe encore aujourd’hui à un rose magenta, avec des pièces fortes et symboliques comme la cape Phoebus.

La couleur Magenta tire son nom d’une ville en italie Magenta,

Rose célébre : la panthère rose, l’éléphant rose, la vie en rose.

Marketing/ Publicité

Dans le Marketing on a le neuromarketing, cette branche cherche par le biais de couleurs, d’image à porter notre esprit vers certaines zones qui serait presque des stéréotypes à la longue. On s’en sert pour créer des logos, des chartes pour des marques, pour la publicité.

Par exemple beaucoup d’entreprises ou de marques qui ont un lien avec la communication et l’échange seront associée à la couleur bleue, ( Facebook),le vert fera une connexion entre la  nature, le bio mais aussi le bien-être et la santé

Pour le rose on peut tomber soit sous une influence féminine, soit une influence enfantine. On associe cette couleur à la douceur, à l’affection, à la maternité mais aussi à la beauté, et là ça ne sera pas que du tout beau tout rose, il y a ce qu’on appelle la taxe rose elle est appliquée sur la plupart des produits destinés aux femmes et qui sont beaucoup plus cher que pour les hommes.

On ne peut pas parler de rose et de femme sans évoquer octobre Rose, campagne de sensibilisation au cancer du sein au départ lancée aux États-Unis en 1985 et en France 10 ans après (1994) qui s’est élargie au cancer féminin. Ici le rose n’est pas pour codifier une faiblesse mais en valeur universelle de soutien et de soin, il existe depuis quelques années la version pour les hommes et la prostate blue november. Et c’est cette reprise qui nous fait placer volontairement octobre rose dans la partie marketing car il y a aujourd’hui une reprise commerciale du mouvement.

Les enfants et le rose ? Le rose est associé bien évidemment à tout ce qui est fruits rouges, fraise et souvent un produit, principalement orienté vers les sera rose, à la fraise, c’est attractif et rassurant (bonbon, Tagada, barbe à papa, , yaourt) Pour les adultes la lecture est souvent différente, il  y a toujours une notion de goûts chimiques.

Mais en pensant encore à Marie-Antoinette ou La Pompadour on trouvera quelques choses de pas chimique dans un bon macaron bien rose à la fleur ou aux fruit rouge (la Durée).

Lithothérapie

Pour la lithothérapie, lorsqu’on commence et qu’on n’est pas encore initié à l’art de se faire accompagner par les pierres, on a tendance à aller tout simplement chercher dans les livres les vertus que l’on donne simplement aux pierres.

Il y a une façon très simple de commencer quand on n’est pas sûr de ce qu’on a entre les mains, regarder par rapport aux couleurs. Alors bien sûr que certaines pierres vont nous faire mentir et peuvent même avec une couleur à laquelle on ne s’attend pas agir sur certains chakras. Et justement quand on débute on apprend la couleur de ses chakras.

Alors qu’est ce qu’un chakra ? Un chakra est une roue d’énergie, ce mot vient du sanskrit et veut dire littéralement roue ou disque. Il y en a sept principaux et c’est grâce à ces petits rouages que les flux circulent dans le corps. Ils sont reliés à plusieurs points d’énergie qui sont reliés aux organes. Ils tournent dans le sens des aiguilles d’une montre et lorsqu’ils sont bloqués, il y a un manque de circulation qui se répercute dans notre corps selon les niveaux.

Qui sont-ils ? Dans l’ordre nous avons le rouge pour le racine Muladhara, orange pour le Chakra sacré Swadhistana, le jaune pour le plexus solaire Manipura, le rose justement et ou le vert pour le chakra du cœur Anahata, le bleu ciel pour le chakra de la gorge, Visshuda, le bleu outre Marine plus foncée pour le 3e œil, Ajna, et en général on associe le violet ou le blanc pour le Chakra couronne Sahasrara.

Concernant donc notre chakra du cœur, nous avons des pierres vertes mais voici la liste qui nous intéresse les pierres roses : le Quartz rose, la Rhodonite, la Rhodochrosite, la Kunzite, la Morganite, la Rubellite qui n’est autre que la Tourmaline rose et le Rubis, la Fluorite rose existe ou encore très très rare, la topaze rose.

Anahata c’est littéralement j’aime, je m’aime, on utilisera ces pierres de couleurs soit pour développer ou débloquer ou pour retrouver sa pleine capacité à aimer : d’abord à s’aimer soi-même pour s’ouvrir ensuite à l’autre. Il faut d’abord savoir se tourner vers soi pour apprécier, connaître qui l’on est, cette capacité à s’aimer vous apportera les bases pour savoir être juste avec vous-même, être capable de vous féliciter quand vous avez réussi quelque chose et de vous pardonner quand ce n’est pas le cas.

Cela vous permettra d’être tolérant envers les autres également vous pourrez ainsi faire preuve de compassion et d’altruisme envers l’extérieur parce que vous savez être juste et tolérant avec votre corps votre âme et votre esprit. Il y a ensuite des pierres qui seront bien évidemment reliée à la sphère des émotions plus vastes et variées, nous avons les pierres d’urgences comme la rhodonite et la rhodochrosite, des pierres qu’on choisira en fonction du cas par cas mais quand on débute on fait donc bien des tests par rapport à la couleur pour essayer de se rapprocher le plus de ce que l’on recherche.

Avant que la question soit posée pourquoi vert ou rose et est ce interchangeable ? oui et non par expérience et observation les pierres vertes sont plus souvent en reliance avec l’amour, la relation amoureuse, l’utilisation de l’affecte, du sentiment amoureux, les pierres roses sont plutôt utilisées pour apaiser les excès de ce sentiment ou pour apaiser l’émotionnelle.

Magie

1.    Signe astrologie

Dans le domaine de la magie, le, la couleur rose peut être associée à au signe du zodiaque, le suivant au signe de la Balance, le Bélier, le Cancer, le Gémeaux, le Taureau ou la Vierge.

2.    Planète

En ce qui concerne le système solaire, on associe le rose à Vénus et Mars.

3.    Pleines lunes,

Il y a une pleine lune aux alentours d’Avril-Mai qui est la pleine lune rose. Cette désignation vient à l’origine d’Amérique latine du Nord avec full Pink Mood. Ça fait référence à cette période de l’année où les premiers bourgeons roses de Phlox subulata commencent à apparaître et ensuite deviennent de magnifique fleurs roses.

4.   Jours de la semaine

 On associe le rose au vendredi et au dimanche.

5.    Sabbats

Les sabbats ont leur couleur qu’on peut utiliser pour des bougies, pour les autels, ou juste pour le symbolique.

Imbolc, symboles justement de régénération, nous sommes dans le dernier sabbat de la période sombre qui correspond à la chandeleur, qui est la continuité du retour à la lumière de Yule. Le rose pour Imbolc se représentera l’harmonie, la tendresse, l’affection, l’amour et la guérison, la guérison aussi spirituelle et les vertus

Ostara qui est le sabbat du renouveau, du printemps.  Le rose cela représentera l’amour, l’affection. Le contentement. Le spirituel, l’harmonie, l’honneur, le printemps, la tendresse et les vertueux. Et on associe également donc ce ces couleurs par rapport aux fleurs des arbres fruitiers ou des fleurs comme le crocus.

6.   Les 4 éléments

On l’associe au feu et à l’air.

7.    Chakra

Le chakra cœur comme dit précédemment.

8.   Points cardinaux

L’Est et le sud-ouest pour le rose. D’ailleurs, dans les cultures égyptiennes, amérindiennes, Amérique latine, le rouge est égal au Sud, donc au feu.

9.   Nombre

On l’associe au nombre 6 et 9.

10.   Tarot

En tarologie, il est associé au pape et à l’impératrice. Après, par rapport à la représentation sur les cartes de tarot du rose en tant que couleur, on est plutôt en fait sur le Beige. Et bien c’est bien évidemment la carnation des personnages qu’on trouve sur les cartes.  On est sur une idée de vie présentes, d’être vivant tout simplement

11. Pratique

On s’en servira dans différents rituels, différentes symboliques, reliés à l’acceptation, l’accroissement, l’activité, l’éveil, l’affection, l’amour et l’amitié par rapport à l’anxiété, à l’attraction, à la beauté, au bien-être, au bonheur, au calme, à la chaleur, à la compassion, à la créativité aussi, la douceur, d’émotions et d’équilibre avec la fidélité, la générosité, la guérison, l’harmonie, l’honneur, l’inspiration, l’intuition, la jeunesse. L’amour, la magie, le mariage, la moralité, la paix, la passion, les relations amoureuses, la sécurité, la sensualité, le stress, la sympathie, tout ce qui est travail sur soi, la tristesse, l’unité et la vie plus généralement.

12. Les bougies

On a parlé tout à l’heure pendant des sabbats, de l’utilisation de la de bougie. Et bien la bougie rose, elle va être utilisée pour travailler aussi par rapport au succès, à la victoire sur le mal, à la victoire en amour, à la vie harmonieuse, à l’honorabilité, elle peut vous aider à contrôler vos émotions et à utiliser pour symboliser un élan de tendresse.

13. Archange

Chamuel qui représente les relations pacifiées et apaisées.

14.Qui sera représenté par la couleur rose ?

Le rose en magie possède les mêmes qualités que le rouge, donc le cœur, l’amour, la douceur, l’affection et le dévouement, c’est le cœur, mais sans la sensualité, sans la sexualité. C’est quelque chose d’instinctif, sans passion ardente.

 Cette couleur rend sensible et réceptive aux vibrations supérieures de l’amour harmonieux. On comprendra depuis le début que beaucoup de passerelles se tendent entre les différents sujets et que du coup ce qui est valable en psychologie va être valable également en magie. Donc par exemple le rose, il va avoir un côté tranquillisant, ça va vous aider à devenir plus discipliné, effacer la mauvaise humeur et au contraire avoir une dose de bonne humeur et finir avec une bonne mine.

C’est pourquoi on dit sans doute voir la vie en rose dans tous les domaines. Ça signifie qu’on est heureux finalement. Le rose, il a un côté assez rassurant, un côté très, très protecteur et ça vous permet aussi de d’avancer dans la vie plus facilement.

Spiritualité/ Religion/ Art-thérapie

En y réfléchissant bien, il est tout à fait normal de donner à la couleur rose par rapport à nos croyances actuelles, l’idée de douceur a un symbole de l’amour du romantisme. Un amour plutôt dans la tendresse et la bienveillance. Un amour universel, celui porté à soi-même et aux autres. Dans cette idée d’amour, il y a toujours l’idée d’amour inconditionnel, celui qu’on porte par exemple à ses parents, envers son enfant ou envers une personne qu’on ne voudrait jamais voir souffrir, ni quitter.

 Il y a avec le rose cette idée aussi de compassion, une espèce aussi d’idée de guérison émotionnelle. On l’associe aussi à la paix dans un certain sens, et actuellement à la féminité.

On aura vu que c’est une harmonie de rouge et de blanc aussi dans cette clé de lecture.

En passant dans quelques branches de la spiritualité, on peut voir que l’utilisation de cette couleur donne une certaine notion d’apaisement, de tendresse, mais que cela peut aussi symboliser le feu et la sexualité, car c’est une harmonie de rouge et de blanc.

Toujours dans cette idée de l’associer au monde de l’enfance et qui est une notion actuelle, nous avons aussi toujours le côté de plus de douceur mais aussi un petit côté d’humour rigolo avec en plus cette petite notion de dérision, drôle, cocasse, comique voire ironique. Dur de ne pas tomber dans le jugement ?

Les couleurs comme tout, ont une notion positive et négative. Ce n’est pas une valeur de jugement, c’est une valeur de dosage d’être dans l’équilibre. Le trop est l’ennemi du pas assez et vice versa.

Donc dans les notions on va plutôt dire pour éviter le côté moins positif de la couleur rose, on tombe toujours dans les grandes ligne des dogmes, comme en psychologie sur une connotation d’immaturité, un espèce de désir de revenir à l’enfance, comme on peut voir avec certaines personnes qui ont une tendance à virer au rose Barbie ou rose layette avec toutes les choses qui les entourent (Kawaïi) . Alors oui, il y a une question de goût, mais il y a une espèce de côté enfantin, malsain, qui peut subsister avec vraiment une accumulation et nous parlons bien d’accumulation dans le sens excès d’objets de décoration, de petits gadgets, de petits bibelots, de petites choses mignonnettes. Dans cette notion-là, alors on pourrait penser que c’est une valeur de jugement négative, de vraiment de quelque chose de péjoratif, mais c’est une espèce de mise en garde par rapport à la surdose quand on devrait peut-être tendre à l’équilibre. Dans le côté négatif, avec les idées qu’on a déjà associées avant, on peut mettre la notion d’indécision et un certain côté de naïveté et on tirera la conclusion que on a affaire à peut-être quelqu’un qui a du mal à prendre des décisions dans le fait de ne pas vouloir devenir adulte, c’est le fait d’être, de s’affirmer, de se prononcer. Et donc du coup, de rester d’un côté juvénile où on se laisse guider par nos parents.

Dans la notion positive, toujours cette fois, nous pouvons aussi revenir avec l’idée de de se rapprocher du bonheur, de rechercher le bonheur, une espèce de joie de vivre. Ça peut aussi être associé avec la patience. Et le rose favoriserait le pardon.

Il y a une espèce de notion aussi de renaissance et de transformation avec la couleur rose.  Qn se voit presque dans le nuancier et sa composition mélange de rouge et de blanc, on peut voir cette transformation, cette évolution comme un rouge ardent qui glisserait tout doucement vers un blanc et donc passerait par ses nuances de rose de saumon au beige jusqu’à s’éclaircir et donc de passer du charnel à aux côtés divins du blanc.

Certaines personnes auront tendance à leur rapprocher à l’énergie du féminine sacrée ce qui pourrait un raccourci lié au marketing actuel de tout mettre en rose pour les femmes. Si on reste sur l’idée de chakras, tout ce qui est relié au masculin et au féminin sacré se trouvera plutôt dans les couleurs rouges. Et orange, du Chakra racine et du Chakra sacré justement, qui sont un peu les berceaux de l’identité de la personne.

Avec des techniques de méditation aussi, on peut se servir des couleurs pour faciliter le travail que l’on veut faire et fait que le travail de visualisation par rapport aux roses qu’on peut incorporer pour nous aider à manifester des réalités positives. En rattachant toutes les idées que nous avons citées avant, avec des vibrations d’amour, de douceur, de pardon aussi pour aller dans le dans le travail sur soi, c’est aussi la vibration donc de la guérison.

Si on reste dans la visualisation, on peut citer de Marles avec son histoire de l’Inde qui nous parle de Calamata qui produit une très belle fleur d’un rouge tendre clair, il nous rapporte que dans les croyances hindous le Calamata à la vertu de procurer aux habitants du ciel d’Indra l’objet de leur désir par la seule pensée. Idée que la visualisation on peut obtenir ce que l’on veut.

Toujours en Inde. C’est un symbole donc de parole divine Rendez-vous à nos instances ô grand Souda, conduisez -nous dans la route de perfection, faites couler sur nous la rosée de la divine parole ; elles seule a la vertu d’éteindre le feu dévorant de l’iniquitée[7] et donc par extension, la rosée est associée à la couleur par rapport à l’Étymologie, comme nous l’avons vu juste avant et viendrait calmer le feu qui est le rouge dans beaucoup de culture.

Le rose au Japon est la plupart du temps associée à l’amour, à la tendresse et surtout au printemps avec les fleurs de sakura.

C’est une idée qu’on retrouvera aussi dans le bouddhisme, mais cette fois associé plutôt à la fleur de Lotus, qui est donc, je le rappelle, le symbole terrestre du Bouddha. Il y a l’idée de pureté d’âme, un chemin de sur la libération du matérialisme, donc encore une fois, cette idée de décorporation, de laisser le corps charnel pour aller vers les idées de l’esprit.

Dans la Bible, nous avons pu voir que rose et rosée sont liées à une même idée. Il y a une petite nuance à tout voir, c’est que le Rosier est l’image du régénéré et la rose devient le symbole de la régénération et donc par extension, le rose par association.

Cette idée se retrouve encore une fois dans plusieurs occurrences. Nous pouvons citer celle de Moïse que mes instructions se répandent comme la pluie, que ma parole tombe comme la rosée, comme des ondées sur la verdure, comme des gouttes d’eau sur l’herbe[8], on trouve encore dans le psaume 72 : 6 il sera comme une pluie qui tombe sur un terrain fauché, comme des ondées qui arrosent la campagne.

   Toujours dans la Bible, on suppose que le tombeau du Christ a été peint d’un mélange de rouge et de blanc. Color ejusdem monumenti et sepulc albo et rubicundo permixtus videtru[9]  La couleur, donc du même monument et du même sépulcre, semble se mélanger au blanc et au rouge.

Dans d’autres cultures européennes mais au sud-ouest comme l’Albanie, la Grèce, la Turquie ou l’Iran, il y a aussi dans le rose une notion de protection et de guérison.

Dans l’Islam, il y a une grande part d’importance aux rêves. On trouvera encore une fois un regroupement avec la rose et le rose, par exemple. se réveiller de roses rose sera l’expression d’une découverte dans l’islam. Après la rose en rêve, elle symbolise aussi le sexe opposé. C’est un présage d’un événement par rapport à son partenaire et donc ça symbolise également l’amour, l’affection et la douceur.

Pour rester dans le domaine du rêve, nous pouvons citer de Georges Romey dans un livre[10] , sorti en 1995, que la couleur rose dans les rêves ne doit pas être regardé comme un rouge affaibli. Une fois de plus, cette notion d’affaiblie sort dans l’analyse de l’auteur et ce serait donc méconnaître la puissance de sa propre valeur, le rose est pour lui aussi associé à la rose et à l’appui par rapport à l’étymologie, Le rose, c’est la rosée, la pluie, l’humide, l’eau, l’anima. L’interprète du rêve qui se réfère à cette ligne de traduction se place dans une perspective d’où il ne peut manquer de voir et de comprendre ce qui se joue dans le scénario.

Autour du rose, il verra rêveurs et rêveuses vivre une dynamique de reconnaissance de l’anima[11], de cet inépuisable réservoir des forces créatrices de l’être et du monde sensible. Le rose onirique dit la marche vers une harmonisation des composantes masculine et féminine du psychisme, sans laquelle il ne peut être possible d’atteindre le Soi, c’est-à-dire l’accomplissement dans la plénitude. »

La rose onirique donc celle du rêve, marche vers une harmonisation des composants masculins et féminins du psychisme, sans laquelle il ne peut être possible d’atteindre le soi, c’est-à-dire l’accomplissement dans la plénitude, et donc du coup, on passe encore une fois de la notion charnelle à la notion spirituelle, au ressenti spiritualité et psychologie émotionnelle.

D’après Casimir Magnat Traités du langage symbolique, emblématique et religieux des fleurs de 1855. La rose résulte du mélange donc du rouge et du blanc. Tout ça rien de nouveau. C’est toujours le symbole de la jeunesse et de l’amour. Mais il ajoute un bout de mythologie avec la déesse de la jeunesse et Hébé qui était semble-t-il parée de cette charmante couleur dans certaines représentations. nous rappelons-nous que si aujourd’hui nous voyons les statuts de l’Antiquité complètement blanche, elles étaient peintes à l’époque. Puisqu’on a retrouvé des traces de pigments sur certaines. Hébé vient de la mythologie grecque et elle personnifie la jeunesse, la vitalité, la vigueur des jeunes gens. C’est la fille de Zeus ridera et elle protège les jeunes mariés à Rome, on la connaît sous le nom de Juventas. Elle sera connue aussi pour être l’épouse d’Hercule. Elle est échanson et donc c’est elle qui, à la Cour de l’Olympe, sert à boire aux autres. Et son don à elle passé de redonner la jeunesse aux mortels. Et c’est aussi aujourd’hui une espèce de fleur.

Tendresse, amour de soi, équilibre, douceur, Amour sensuel

Infantilisation, refus de prendre ses responsabilité

Printemps renouveau

Harmonisation et évolution du charnel rouge en divin blanc

Les couleurs sont comme tout concept une histoire d’équilibre

Voir la vie en rose nous sort du passif pour nous porter vers l’action.


[1] Frédéric Portal, Des couleurs symboliques : dans l’antiquité, le moyen-âge et les temps modernes, 1837

[2] Biographe alexandrin de la deuxième moitié du Vème siècle.

[3] Stéphane Bex, Le parfum de la rose dans les Métamorphoses d’Apulée tiré de Saveurs, senteurs : le goût de la Méditerranée, Actes du Colloque, Université de Perpignan, 13-14-15 novembre 1997.

[4]  « mœurs des anciens » ou « coutume des ancêtres » ce qui signifie qu’il respecte les anciens c’est-à-dire les personnes mortes ou les sages, désigne dans la Rome antique le mode de vie et le système des valeurs ancestrales. Wikipédia

[5] « la science du mouvement » est une technique de rééquilibrage psycho-corporelle. Elle s’attache au bien-être global de la personne en tenant compte des aspects physique, émotionnel et mental. 

[6] Sociologue Allemande 1948-2008

[7] Bagavadam ou Doctrine divine ; ouvrage indien canonique, sur l’être suprême, les dieux, les géants, les hommes… 1788 Foucher d’Obsonville (1742?-1802). Éditeur scientifique

[8] Deutéronome. 32 :  2

[9] Bédé le Vénérable

[10] le dictionnaire de la symbolique, le vocabulaire fondamental des rêves, tome 1. : couleurs, minéraux, métaux, végétaux, animaux (Albin Michel, 1995),

[11] Figures inconscientes de l’autre apparaissant dans les rêves, les mythes, les arts, les religions, cet autre se présentant avec les caractères du sexe opposé (ce que l’on définirait aujourd’hui comme du genre opposé) : anima chez l’homme, animus chez la femme. Ces deux archétypes fondent la conception jungienne d’une bisexualité psychique. Anima et animus suscitent des représentations qui tendent à se personnifier comme on peut le voir par exemple dans les rêves où l’anima et l’animus apparaissent sous les traits d’une femme ou d’un homme inconnu. Ils se manifestent aussi, d’une façon qui reste souvent inconsciente, par des projections qui induisent certains comportements et jettent le trouble dans les relations de l’homme et de la femme.»(Extrait de la définition de l’Anima qui figure dans le Dictionnaire Jung, page 22.)

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